3. Activités et modalités de ce travail
Pour atteindre ces objectifs, l’Institut donne la priorité à quatre champs d’analyse et de recherche, à savoir:
- l’eau bien commun, l’eau bien public: les politiques en matière de propriété et d’usage de l’eau, l’eau dans la vie quotidienne (aspects sociaux, éthiques, religieux, symboliques…), éducation et eau,
- le gouvernement de l’eau, de toutes les eaux: analyses comparatives des législations, des institutions et des politiques nationales; évaluation intégrée des politiques européennes en matière d’eau, d’environnement, des sols, des territoires…; participation des citoyens,
- l’économie de l’eau: coûts et financements, technologies, emploi et éducation, organisation de la gestion des services hydriques (de toutes les eaux), ”l’industrie” de l’eau au plan européen et mondial; la situation des eaux de surfaces dans les régions atlantiques et en Europe centrale; économie de la forêt et eau dans les Balkans,
- le futur de l’eau: la “crise” hydrique actuelle et évolutions possibles en liaison avec le changement climatique; “l’or bleu”?; les guerres de l’eau? recherches sur les “futuribles” de l’eau.
Dans cette perspective, l’Institut privilégie les modalités de travail suivantes:
- constitution de réseaux de travail, dont font partie des experts venant du monde universitaire et académique, de l’administration publique, des entreprises, des syndicats et des organisations de citoyens,
- organisations d’ateliers, séminaires, conférences,
- promotion de campagnes d’information/sensibilisation,
- publication et diffusion de cahiers d’études, de rapports de recherche, de lettres d’information en ligne,
- missions d’études et d’enquête sur des problématiques sectorielles ou des zones géographiques particulières.
Les activités de l’Institut sont coordonnées par un secrétaire général.